Les 8 ème de Finale

Après cette journée forte en émotions et en blessures, Minerve vint afficher les noms des braves, car là c'étaient vraiment de brave qu'il s'agissait, toujours en lice.

Citation :

Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin affrontera Sa Seigneurie Argael Devirieux, Marquis de Senlis, Comte de Menin, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute.

Citation :

Neyco Mariemont Casaviecchi, Baronne de Hautpoul affrontera Grégoire d'Ailhaud, dict Thegregterror, Comte de Lille & de Sainct-Omer, Duc de Brunelles, Baron d'Aire-sur-la-Lys, d'Arques & de Melun, Seigneur d'Isles-sous-Ramerupt.

Citation :

Nefi Danezy, Dame de Mercatel affrontera Zebracolor du Val de Loire, Duc des Roches l'Évêque, Baron de Bourgueil.

Citation :

Joachim_, seigneur de Fargot affrontera Lexhor d'Amahir dict Orléans, Duc d'Alluyes, Baron de Château Landon et d'Auneau, Seigneur de Pléaux, Maréchal d'Armes de France et Pair de France.

Citation :

Valéria Declervaux Gambiani de Valrose, Duchesse de Rosnay, Baronne de Brou, Dame de Souville sous Yèvre, de Raucourt et de Dammartin-Marpain affrontera Actarius d'Euphor, Pair de France, Vicomte du Tournel, Baron de Florac, Seigneur de Saint-Dionisy et d'Aubemare.

Citation :

Elhrik Vonlichtenchein d'Erementar dicte Vonlichtenchein, Seigneur de Saint Jean de Rive et Brassac affrontera Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard, Seigneur de Quiers sur Bezonde.

Citation :

Karyaan le Verdier Lómàlas, Comtesse de Beaumont-sur-Sarthe, Dame de Louailles et de Bois-Brault affrontera Ascalon Breydel, Comte de Sint Winoksbergen, Baron de Rumes, Seigneur de Temse et de Cazaux, dit Flandre, Maréchal d'Armes de France et Héraut de la marche des Flandres.

Citation :

Calypso d'Ascoli dicte Cooky, Dame de Vielleségure affrontera Rotule.baccard, Seigneur de Clansayes.

Minerve revient pour annoncer le début des 8 ème de finale. Tout le monde était là ou presque.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin et Sa Seigneurie Argael Devirieux, Marquis de Senlis, Comte de Menin, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute.



Première lance...
Un duel d'habitués des lices allait se jouer ici. Minerve observa les jouteurs arrivés et se concentrés, puis elle leur donna le départ. En quelques instants ils étaient déjà à bonne hauteur les lances se croisent seule celle du chevalier touche. Et comme une erreur à se niveau là ne pardonne pas le Pair se fait désarçonner aussi sec. Il chute sur le sable de la lice, maîtrise sa chute et se relève sans blessure.

Guillaume de Jeneffe est déclaré vainqueur.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Neyco Mariemont Casaviecchi, Baronne de Hautpoul et Grégoire d'Ailhaud, dict Thegregterror, Comte de Lille & de Sainct-Omer, Duc de Brunelles, Baron d'Aire-sur-la-Lys, d'Arques & de Melun, Seigneur d'Isles-sous-Ramerupt.



Première lance...
Les deux jouteurs se présentent, Minerve donne le départ, les chevaux filent comme le vent... Et les lances se croisent uniquement. Personne ne touche.

Seconde lance...
Un demi tour en bout de lice et cette fois ils se sont ajustés. Les lances se croisent et touchent, mais seule celle de la baronne se brise. Déséquilibrés les deux jouteurs chutent de leurs montures ! Quelques instants plus tard ils font signent, aucunes blessures n'est à déplorer. La Baronne ayant brisé sa lance avant sa chute pas de duel à l'épée.

Neyco Mariemont Casaviecchi est déclarée vainqueur.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Nefi Danezy, Dame de Mercatel et Zebracolor du Val de Loire, Duc des Roches l'Évêque, Baron de Bourgueil.



Première lance...
Celle qui commençait à collectionner les chutes de ducs, contre le sempiternelle adversaire de l'implacable. Duel à suivre! Ils prennent place, Minerve abaisse son drapeau. Et c'est partit! Les lances s'abaissent, la dame n'a pas le temps de placé la sienne que déjà celle du duc frappe, touche, se brise et l'envoie sur les roses. il semblerait en grande forme le duc.

Zebracolor du Val de Loire est déclaré vainqueur.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Joachim_, seigneur de Fargot et Lexhor d'Amahir dict Orléans, Duc d'Alluyes, Baron de Château Landon et d'Auneau, Seigneur de Pléaux, Maréchal d'Armes de France et Pair de France.



Première lance...
Les jouteurs font signe qu'ils sont prêts. Minerve ne se fait pas prier et abaisse son drapeau.
Les lances se croisent... Et c'est le choc, le Duc touche, brise sa lance et envoie son adversaire au sol avant même que celui-ci n'est plus placer sa lance.

Lexhor d'Amahir est déclaré vainqueur.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Valéria Declervaux Gambiani de Valrose, Duchesse de Rosnay, Baronne de Brou, Dame de Souville sous Yèvre, de Raucourt et de Dammartin-Marpain et Actarius d'Euphor, Pair de France, Vicomte du Tournel, Baron de Florac, Seigneur de Saint-Dionisy et d'Aubemare.



Première lance...
Les jouteurs se font face, Minerve donne le départ. Les lances s'abaissent, se croisent et seul celle du Pair touche et se brise. La duchesse qui connaît bien les joutes tient bon sur sa monture.

Seconde lance...
Les deux jouteurs repartent l'un vers l'autre, les lances s'abaissent et se croisent, mais aucunes ne touchent.

Troisième lance...
Un demi tour et puis repartent, ils se font face, les lances se croisent encore une fois le Vicomte touche et brise sa lance sans que la duchesse ne puisse rien faire. Elle chute en bout de lice et se blesse légèrement au pied. Minerve appel médicastre et autre écuyers afin de lui venir en aide.

Actarius d'Euphor est déclaré vainqueur.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Elhrik Vonlichtenchein d'Erementar dicte Vonlichtenchein, Seigneur de Saint Jean de Rive et Brassac et Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard, Seigneur de Quiers sur Bezonde.



Première lance...
Les jouteurs prennent le chemin de la lice, les lances se croisent et manquent de peu leurs cibles. Personne ne touche.

Seconde lance....
Les jouteurs semblent décidés, ils les chevaux partent avec célérité. C'est le seigneur qui touche sans briser sa lance, le duc lui manque encore sa cible.

Troisième lance...
Un demi tour en bout de lice et ils repartent toutes lances baissés. Cette fois c'est le duc qui touche et brise sa lance alors que le seigneur rate. Ce dernier reste en selle.

Ursus de Valbois est déclaré vainqueur.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Karyaan le Verdier Lómàlas, Comtesse de Beaumont-sur-Sarthe, Dame de Louailles et de Bois-Brault et Ascalon Breydel, Comte de Sint Winoksbergen, Baron de Rumes, Seigneur de Temse et de Cazaux, dit Flandre, Maréchal d'Armes de France et Héraut de la marche des Flandres.



Première lance...
Les jouteurs font signe qu'ils sont prêts, Minerve donne le signal. Les chevaux sont talonnés, les lances s'abaissent, se croisent et c'est le choc! La Comtesse touche, brise sa lance et envoie au sol le héraut, sans que celui-ci n'ai eut le temps d'entreprendre quoi que ce soit. Il se relève quelques instants après sans blessure aucune.

Karyaan le Verdier Lómàlas est déclarée vainqueur.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Calypso d'Ascoli dicte Cooky, Dame de Vielleségure et Rotule.baccard, Seigneur de Clansayes.



Première lance...
Les jouteurs de ce dernier affrontement arrivent. Minerve allait observer attentivement celui qu'elle surnommait déjà en elle même "le boucher de la lice".
Elle fait signe aux jouteurs que le départ est donné, ils s'élancent avec fougue l'un vers l'autre, le seigneur est le premier à frapper, il a ajusté sa lance plus rapidement, il touche et brise sa lance sur l'écu de la dame. Celle-ci ne démérite pas et reste en selle.

Seconde lance...
Un demi tour en bout de lice et les voici repartit dans un affrontement acharné. Les lances s'abaissent, mais hélas les deux jouteurs esquivent la lance adverse, et personne ne touche.

Troisième lance...
Les jouteurs font un dernier demi tour, ils se font face, et une fois de plus c'est l'esquive. Personne ne touche.

Rotule.baccard est déclaré vainqueur.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Elhrik Vonlichtenchein d'Erementar dicte Vonlichtenchein, Seigneur de Saint Jean de Rive et Brassac et Ursus de Valbois, Duc de Chateaubriand, Seigneur de Quiers sur Bezonde.



Première lance...
Les jouteurs prennent le chemin de la lice, les lances se croisent et manquent de peu leurs cibles. Personne ne touche.

Seconde lance....
Les jouteurs semblent décidés, ils les chevaux partent avec célérité. C'est le seigneur qui touche sans briser sa lance, le duc lui manque encore sa cible.

Troisième lance...
Un demi tour en bout de lice et ils repartent toutes lances baissés. Cette fois c'est le duc qui touche et brise sa lance alors que le seigneur rate. Ce dernier reste en selle.

Ursus de Valbois est déclaré vainqueur.

Ursus regardait les jouteurs au bord le la lice afin d’encourager les orléanais. Lexhor mit à profit sa solide expérience pour éliminer son adversaire. Valéria par contre ne résista pas en face du pair de France Actarius. Il faudrait s’en méfier.

Et puis ce fut au tour du Duc de Châteaurenard. Godefroy en écuyer expérimenté avait assemblé toutes les pièces d’armure par dessus le haubert. Pour le haut : le plastron, le heaume à bassinet, les spallières, cubitières et gantelets et pour le bas : cuissots, genouillères et grèves. Pas question évidemment de monter tout cela en désordre !

Juché sur la selle de sa monture, le Duc attendait le signal de l’arbitre. Il saisit la lance et ferma la visière de son casque...

Allez !

Le signal était donné, mais à l’instant où il s’élança sur le sable, Ursus entendit un bourdonnement dans son heaume. Une bestiole enfermée martelait de ses ailes les parois d’acier.

Ah mais… Qu’est donc que !

Pas facile dans ce cas de voir quelque chose et d’ajuster sa lance ! Ursus manqua l’écu adversaire mais ressentit un choc violent. Au bout de la lice, il fit demi tour et tenta de relever la visière pour libérer la guêpe.

Aiiieeee ! La sal… Elle m’a piqué !

Pégase, réglé comme une pendule repartait déjà dans l’autre sens. Son cavalier eut juste le temps de soulever le bassinet pour que la fauteuse de troubles s'envole. Le Duc manqua de nouveau sa cible.

Enfin, à la troisième lance, et malgré la douleur sur la joue piquée, il réussit à frapper le plastron d’Elhrik Vonlichtenchein. Sa lance brisée lui permit d’obtenir la victoire. Le Duc de Chateaurenard salua de la main le Seigneur de Saint Jean qu’il avait déjà rencontré dans une magnifique finale aux joutes de Valencay

[Valéria VS Actarius]

Le Vicomte avait regagné sa tente, pas peu fier d'avoir envoyer valser dans les airs la Mirandole honnie. Son armure lui fut retirée par deux serviteurs et alors commença un moment de détente bien mérité. Il avait assisté à la joute de sa future adversaire, qu'il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam mais qui avait fait montre de nombreuses qualités lors de ses trois passes face au héraut tourangeau. Méfiance donc face à cette dame. Ceci étant, l'inquiétude ne semblait pas vraiment avoir de prise sur le Mendois dont le corps, libéré de sa carcasse de fer s'était alangui sur un siège, tandis que le regard parcourait quelques missives en provenance du Languedoc. Il avait beau s'efforcer de profiter de ces petites parenthèses, de jouer les cigales, sa nature de fourmi reprenait rapidement le dessus. Encore qu'il se contenta de lire en la circonstance, repoussant l'échéance des réponses à la fin de ces joutes tourangelles.

Il venait de rejeter un trognon de pomme lorsqu'on le prévint que les huitièmes de finale s'apprêtaient à commencer. Les grands préparatifs reprirent et quelques longs instants plus tard le Pair regrimpa en selle pour rejoindre la lice abandonnée tantôt. Il observa avec une attention toute particulière le choc de titans qui ouvrit cette nouvelle phase de compétition. Un duel de monstres qui accoucha d'une victoire rapide et sans appel du GEF. Le Jeneffe se profilait assurément comme le grand favori. Quelle idée à son âge... Vint le temps au jeune Coeur d'Oc d'une quarantaine d'année de prendre place sur la lice. Il abaissa sa visière après un dernier regard "libre" à son adversaire et lança sa monture à la conquête du sable.

Confiant après sa victoire précédente et concentré, le Phénix toucha et brisa dès la première passe, mais remarquable d'adresse la coriace Valrose ne descella pas. Le deuxième choc n'arriva de fait qu'à la troisième manche après une passe nulle A nouveau, la lance euphorique explosa au contact de la ferraille adverse, mais cette fois, elle fut suffisamment puissante et précise pour provoquer une chute. Le second succès du Colosse de Margeride sur les terres de Roches-L'Evêque était consommé, mais visiblement celui-ci ne fut pas sans conséquence pour la dame qu'il avait mis à bas. Aussi ne tarda-t-il pas à approcher et à relever la visière de son heaume. Votre Grasce, j'espère que ce n'est pas trop grave. Je vous remercie en tous les cas pour ce beau duel, ajouta-t-il une fois rassuré par un signe positif du médicastre appelé par Minerve peu auparavant.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Calypso d'Ascoli dicte Cooky, Dame de Vielleségure et Rotule.baccard, Seigneur de Clansayes.



Première lance...
Les jouteurs de ce dernier affrontement arrivent. Minerve allait observer attentivement celui qu'elle surnommait déjà en elle même "le boucher de la lice".
Elle fait signe aux jouteurs que le départ est donné, ils s'élancent avec fougue l'un vers l'autre, le seigneur est le premier à frapper, il a ajusté sa lance plus rapidement, il touche et brise sa lance sur l'écu de la dame. Celle-ci ne démérite pas et reste en selle.

Seconde lance...
Un demi tour en bout de lice et les voici repartit dans un affrontement acharné. Les lances s'abaissent, mais hélas les deux jouteurs esquivent la lance adverse, et personne ne touche.

Troisième lance...
Les jouteurs font un dernier demi tour, ils se font face, et une fois de plus c'est l'esquive. Personne ne touche.

Rotule.baccard est déclaré vainqueur.

Depuis qu’il avait décidé de prendre du temps pour s’occuper des siens lors de la naissance de sa fille Lizzie, L’Affreux ressentait un manque, et c’est heureux qu’il retrouva en ses joutes ce frisson d’excitation lui parcourant les veines qui lui manquait tant…

Et du fait que c’était effectué dans un entourage festif, ou l’honneur et la bienséance des uns et des autres était amical, rendait cela encore bien plus délectable…

Revêtut des protections matelassé passé sous son armure…, L’Affreux qui devait à nouveau jouter le dernier pour cette nouvelle manche, profita d’un peu d’ombre sous la tenture d’un auvent des tribunes pour ne point cuire de chaud, et profiter du spectacle pour apprendre de ses ainés plus encore, a fin de pouvoir en décelé des astuces et de les mettre en pratique lors de ses prochains entrainement quand il serait de retour sur ses terres …

Quand se fut le tour des avant derniers chevaliers de s’avancer sur la lice, son écuyer vint l’aider à monter son destrier…

Et de nouveau pour trouver ça concentration, Rotule, tenant sa lance à la verticale, prononça la prière de Saint Georges… quand sous l’autorisation de Minerve, le Dauphinois piqua les flans de Yakuza de ses éperons…

La mâchoire serrée, ses pupilles fixes, le souffle contenu, il était décidé a prendre l’ascendant directement, et quand il jugea êtres à bonne distance il poussa sur ses étriers pour lance tendu se redresser en pivotant l’égerment et venir briser sa lance sur l’écu de la Dame de Vielleségure…

C’est arrivant en bout de lice et qu’il fit volte face qu’il aperçu la Chevalière toujours en selle…

Mordiable l’ai solide la bougresse ! Exprima l’Affreux à l’un des écuyers qui échangea sa lance …

Et de nouveau c’est galopant le long de la poutre qu’il essaya a nouveau de toucher la chevalière, mais moins engagé de son coté il rata l’écu de son adversaire alors qu’il coinça sa lance sous son aisselle …Il le savait ! il n’avait pas été aussi engageant et déterminé que la 1er passe, et il allait devoir jouer de prudence à défault de précision pour espérer l’emporter…

Aller vaille que vaille … plein galop et déterminé le Baccard abaisse sa lance, quand il aperçoit celle de la chevalière lui arriver bien plus vite que ce qu’il avait préjugé et l'esquiva …Pffiouuu ce n’est pas passé loin ! Par chance celle-ci le frôla sans le toucher…

Complimenté et libéré de sa lance intacte par son écuyer, le Seigneur de Clansayes n’en revenant toujours pas d’être toujours en course pour la suite s’approcha de son adversaire…Dame de Vielleségure, je vous remercie pour cette manche d’avoir croisé avec moi…

Deedlitt a écrit:

Que s'avancent sur la lice, Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin et Sa Seigneurie Argael Devirieux, Marquis de Senlis, Comte de Menin, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute.



Première lance...
Un duel d'habitués des lices allait se jouer ici. Minerve observa les jouteurs arrivés et se concentrés, puis elle leur donna le départ. En quelques instants ils étaient déjà à bonne hauteur les lances se croisent seule celle du chevalier touche. Et comme une erreur à se niveau là ne pardonne pas le Pair se fait désarçonner aussi sec. Il chute sur le sable de la lice, maîtrise sa chute et se relève sans blessure.

Guillaume de Jeneffe est déclaré vainqueur.

Il s’en était douté dès qu’il avait eu sous les yeux le tableau des seizièmes de finale. Si la Fortune lui souriait, il aurait certainement à affronter le marquis de Senlis pour les huitièmes. Un de ceux que l’on se réjouit de ne pas croiser sur la lice, quand bien même on ne dédaigne jamais une occasion de le rencontrer en d’autres occasions. Car la lance au poing, le Dauphinois était un modèle de discourtoisie et, souvent, un synonyme d’aller simple vers le sol. En somme, rien n’était gagné et le Flamand se mettait à penser qu’il tiendrait peut-être plus rapidement qu’espéré la promesse faite à celle qu’il avait vaincu au tour précédent…

Appliquant une dernière fois son scel à une missive, cette fois adressée à un marchand de Vendôme, il abandonna la cire et la matrice pour que ses valets viennent l’équiper. De pied en cap, bien entendu. Armure frottée et refrottée, heaume lustré et licorne issant de celui-ci dépoussiérée, au niveau de l’apparence, rien n’était à redire. Au niveau de la performance, par contre, ce serait une toute autre paire de spallières…

Il se hissa donc sur sa monture et s’avança vers la lice, saluant les tribunes et priant tout bas pour le salut de son âme, s’il venait à choir trop rudement. C’est qu’à son âge, on n’était plus aussi souple qu’à 20 ans. Mais essayez de lui faire comprendre qu’il est trop vieux pour ces excréments et vous comprendrez le sens du mot obstination…

En quelques gestes, tout est joué. De un, le duel est ouvert. De deux, les éperons rencontrent la peau du Frison. De trois, son regard se visse à l’armure adverse. De quatre, la lance est abaissée. De cinq, il projette sa masse en avant. De six, il voit son arme glisser. De sept, il arrête sa monture. De huit, il se retourne. De neuf, il voit sa victoire.

S’avançant à la hauteur du multititré, il se penche vers lui : « Marquis, heureux de vous voir en forme. Je gage que votre épouse m’aurait écharpé si je vous avais par trop navré ».

Deetlitt appelait les médecins suite au duel entre la duchesse de Rosnay et le vicomte Acturius.
Hersent se précipita, aussi vite que le lui permettait sa blessure au pied pour examiner la duchesse.
Après avoir ôté la jambière et regarder le pied:

Valéria, je crois que vous êtes bonne pour avoir l'honneur d'être recousue par une dentellière hors pair... moi.

Elle fait signe aux écuyers d'aider la duchesse à se rendre au campement où elle pourrait, au calme, recoudre la blessure.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Neyco Mariemont Casaviecchi, Baronne de Hautpoul et Grégoire d'Ailhaud, dict Thegregterror, Comte de Lille & de Sainct-Omer, Duc de Brunelles, Baron d'Aire-sur-la-Lys, d'Arques & de Melun, Seigneur d'Isles-sous-Ramerupt.



Première lance...
Les deux jouteurs se présentent, Minerve donne le départ, les chevaux filent comme le vent... Et les lances se croisent uniquement. Personne ne touche.

Seconde lance...
Un demi tour en bout de lice et cette fois ils se sont ajustés. Les lances se croisent et touchent, mais seule celle de la baronne se brise. Déséquilibrés les deux jouteurs chutent de leurs montures ! Quelques instants plus tard ils font signent, aucunes blessures n'est à déplorer. La Baronne ayant brisé sa lance avant sa chute pas de duel à l'épée.

Neyco Mariemont Casaviecchi est déclarée vainqueur.

Encore un duel face à une personne connue. Enfin en joute en même temps les têtes se croisaient sans arrêt. Saluant poliment les gens présent, elle monta en selle mit son heaume et entra en lice.

Son chevalier passait juste après elle aussi espérait elle que ce dernier réussisse.

Départ lancé par Minerve, mini qui laisse Phoenix se défouler. Aucune touche, pour une première. Petit souvenir des joutes en Limousin. 8 passes pour tomber. Nom d'un biscuit plus jamais.
Demi tour, et seconde lance donnée. Un bruit caractéristique de touche, la respiration retenue due au choc. Sentant son bras aller de l'avant elle ferma les yeux. Sa lance c'était brisée. Cela elle ne l'aurai cru par contre ré-ouvrant ses yeux rapidement, sa main ne tenait plus la longe, bon sang.

Nom d'un biscuit.

Son adversaire au sol tout autant, vérifiant les couleurs de la lance, gueule et or la sienne. Rassuré suite au signal de Minerve elle enleva heaume le lâcha au sol et appuya ses mains contre ses genoux. Bon sang un duel à l'épée c'était rare mais c'était juste pour le coup. Et la pas sure qu'elle s'en serai sortie indemne aussi bien niveau perdre la joute que blessure.

Elle commençait à être bien échauffé maintenant et contente d'être arrivée jusqu'ici voila qui était bien nouveau. Elle se prépara avec l'aide de son tendre et se mit en place attendant le signale. Aurait elle un troisième duc à son palmarés ? on dit souvent jamais deux sans trois.

Le signale et donné et elle se lance, mais la lance lui parait plus lourde que les autres ou est ce la fatigue ? du coup elle ne s'abaisse pas suffisamment vide. Elle vide les étriller et après un moment de flottement ma foi pas désagréable elle choit lourdement. Elle a cette fois plus de chance l'armure a tenue et point de bobo.

Relevant son heaume elle sourit à son adversaire qui vient rendre de ses nouvelles.

Aucun regret sir, ce fut une journée bien distrayante et je pourrais vous encourager pour le reste des épreuves.

ELle se releva et alla retrouver ses proches et se changer pour reprendre une allure plus féminine.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Joachim_, seigneur de Fargot et Lexhor d'Amahir dict Orléans, Duc d'Alluyes, Baron de Château Landon et d'Auneau, Seigneur de Pléaux, Maréchal d'Armes de France et Pair de France.



Première lance...
Les jouteurs font signe qu'ils sont prêts. Minerve ne se fait pas prier et abaisse son drapeau.
Les lances se croisent... Et c'est le choc, le Duc touche, brise sa lance et envoie son adversaire au sol avant même que celui-ci n'est plus placer sa lance.

Lexhor d'Amahir est déclaré vainqueur.

Second tour et toujours un seigneur comme adversaire. Et également adversaire inédit que le duc n'a jamais vu jouter. Ce tour allait-il être la réplique des seizièmes ou bien le coup tordu que Lexhor redoutait?
Toujours est-il que le pair se prépara comme pour n'importe quel duel et qu'il était bien décidé à l'emporter le plus vite possible.
Mais une chose le tracassait, c'était Minerve qui officiait. Minerve, son chat noir. Du moins, lui en était persuadé...
A son signal, les deux jouteurs s'élancent et le pair éperonne son frison noir qui file vers le bord opposé de la lice. Son cavalier abaisse sa lance à la croisée, touche et brise, envoyant son adversaire à terre et remportant son deuxième duel.
Il fit ensuite demi-tour, descendit de cheval et alla prendre soin de l'état de santé de son adversaire. Tout allait bien visiblement et le duc quitta donc la lice en le saluant.