Les quarts de finale

Minerve vint afficher la suite du Tournoi.

Citation :

Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin affrontera Neyco Mariemont Casaviecchi, Baronne de Hautpoul.

Citation :

Zebracolor du Val de Loire, Duc des Roches l'Évêque, Baron de Bourgueil affrontera Lexhor d'Amahir dict Orléans, Duc d'Alluyes, Baron de Château Landon et d'Auneau, Seigneur de Pléaux, Maréchal d'Armes de France et Pair de France.

Citation :

Actarius d'Euphor, Pair de France, Vicomte du Tournel, Baron de Florac, Seigneur de Saint-Dionisy et d'Aubemare affrontera Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard, Seigneur de Quiers sur Bezonde.

Citation :

Karyaan le Verdier Lómàlas, Comtesse de Beaumont-sur-Sarthe, Dame de Louailles et de Bois-Brault affrontera Rotule.baccard, Seigneur de Clansayes.

Quand de retour de son campement il vint voir les noms inscrits pour la suite, impatient et curieux il glissa son index lisant chaque noms et titres des concourants …

Ha il était heureux de retrouver l’agréable sensation que provoquaient ses affrontements ! Bé là il allait être servit le Baccard … et sur un plateau d’or massif au vue des noms inscrit !

Hum… La Comtesse de Beaumont-sur-Sarthe… voyant avec qui il allait croiser, sa réflexion sur la chance qu’il eu jusqu'à la d’être toujours en lice, changea quelque peu, quand il revit mentalement de quelle façon la Comtesse avait fait chuter au sol son adversaire en déchiquetant sa lance d’une visé aussi rapide que précise qu’une guêpe… Oui cela avait été propre et sans bavure !

Mouais… pas certain que je rentre en Dauphiné sans égratignures moi… marmonna l’Affreux qui dès son retour en son pavillon demanda qu’on lui verse une grande chope de Valériane, afin qu’il trouve le sommeil paisiblement et pouvoir donner le meilleur pour la suite, au lieu de laisser l’angoisse le gagner jusqu’au petit matin et se réveillé aussi claqué qu’il l’était à présent…

Tant qu’a être blessé autant l’être en bonne forme ! s’exclama le Seigneur de Clansayes qui du haut de ses vingt quatre ans tapotai son polochon pour mieux venir baver dessus en ronflant…

Minerve revint après la nuit réglementaire.

Citation :

Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin et Neyco Mariemont Casaviecchi, Baronne de Hautpoul.



Première lance...
Les jouteurs répondent présents, Minerve donne le départ. Ils prennent le départ avec force est vélocité, et c'est dans un choc fracassant que les deux adversaires brisent leurs lances et restent en selle.

Seconde lance...
Un demi tour en bout de lice et ils repartent, cette fois c'est la baronne seule, qui touche, brise sa lance et entraîne la chute du chevalier. Belle performance pour la baronne qui vient de sortir du tournoi un adversaire de choix.

Neyco Mariemont Casaviecchi est déclarée vainqueur.

Citation :

Que s'avancent que la lice, Zebracolor du Val de Loire, Duc des Roches l'Évêque, Baron de Bourgueil et Lexhor d'Amahir dict Orléans, Duc d'Alluyes, Baron de Château Landon et d'Auneau, Seigneur de Pléaux, Maréchal d'Armes de France et Pair de France.



Première lance...
Les ducs s'avancent et minerve donne le signal. Les chevaux sont talonnés, les lances s'abaissent et et se croisent, mais seule celle du Tourangeau touche, se brise et envoie son adversaire sur le sable de la lice.

Zebracolor du Val de Loire est déclaré vainqueur.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Actarius d'Euphor, Pair de France, Vicomte du Tournel, Baron de Florac, Seigneur de Saint-Dionisy et d'Aubemare et Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard, Seigneur de Quiers sur Bezonde.



Première lance...
Les jouteurs se font face, Minerve abaisse son drapeau. Ils prennent le départ, les lances se croisent et seule celle du vicomte se brise et désarçonne son adversaire sans autre forme de procès.

Actarius d'Euphor est déclaré vainqueur.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Karyaan le Verdier Lómàlas, Comtesse de Beaumont-sur-Sarthe, Dame de Louailles et de Bois-Brault et Rotule.baccard, Seigneur de Clansayes.



Première lance...
Les jouteurs arrivent en bord de lice, ils prennent le chemin de lice, ils sont à bonne hauteur, les lances se croisent, celle de la Comtesse touche mais ne se brise pas. Celle du Seigneur par contre, touche, se brise et envoie son adversaire au sol.

Rotule.baccard est déclaré vainqueur.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Actarius d'Euphor, Pair de France, Vicomte du Tournel, Baron de Florac, Seigneur de Saint-Dionisy et d'Aubemare et Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard, Seigneur de Quiers sur Bezonde.



Première lance...
Les jouteurs se font face, Minerve abaisse son drapeau. Ils prennent le départ, les lances se croisent et seule celle du vicomte se brise et désarçonne son adversaire sans autre forme de procès.

Actarius d'Euphor est déclaré vainqueur.

C’était une belle journée. Le soleil brillait dans l’azur et l’on voyait les hirondelles passer au dessus d’un petit ruisseau qui jouxtait la Lice. Ursus, caressa l’encolure de Pégase et se hissa sur la selle, avec l’aide de son écuyer. Il ne connaissait pas son adversaire, mais savait que l’expérience ne suffisait pas toujours. Concentration, force, habileté, et chance devaient être au rendez vous pour emporter la victoire.

Il devait manquer quelque chose cette fois ci car le Duc de Chateaurenard imita quelques secondes les hirondelles avant de choir lourdement sur le sable. Ce n’était pas la première chute et ce ne serait pas la dernière.

Rien de cassé, je crois…

Ursus leva la main en direction de son adversaire pour lui signifier que tout allait bien

Je vous souhaite bonne chance pour la demi finale votre Grâce.

Citation :

Que s'avancent sur la lice, Karyaan le Verdier Lómàlas, Comtesse de Beaumont-sur-Sarthe, Dame de Louailles et de Bois-Brault et Rotule.baccard, Seigneur de Clansayes.



Première lance...
Les jouteurs arrivent en bord de lice, ils prennent le chemin de lice, ils sont à bonne hauteur, les lances se croisent, celle de la Comtesse touche mais ne se brise pas. Celle du Seigneur par contre, touche, se brise et envoie son adversaire au sol.

Rotule.baccard est déclaré vainqueur.

la tête bien enfuit sous sa peau d’ours lui faisant office de couverture, le Baccard avait effectivement bien ronflé en passant une bonne nuitée à bavé contre son polochon tel un Saint Bernard rognant la moelle d’un fémur de bœuf …

C’est donc bien reposé et l'estomac comblé d’un bouillon de poularde agrémenté d’une rasade d’Abricotine pour se rincer le gosier, qu'il alla saluer son cheval en lui caressant les naseaux et lui offrir ça carotte quotidienne avant que celui-ci comme son maitre soit paré des protections aux couleurs de la Seigneurie de Clansayes a fin d’être prêt pour jouter en cette nouvelle journée…

Apres avoir observé les premiers chevaliers s’élancer, c’est en bordure de lice, que l’Affreux s’isole un instant pour prier et trouver sa concentration sachant que la Comtesse avec qui il devait jouter, avait jusqu’ici croisé avec la hargne et la précision d’une guêpe, et pour cela, le Baccard devrait pour l’emporter être un frelon…

Que s'avancent sur la lice, Karyaan le Verdier Lómàlas, Comtesse de Beaumont-sur-Sarthe, Dame de Louailles et de Bois-Brault et Rotule.baccard, Seigneur de Clansayes

Au pas, l’Affreux se saisit d’une de ses lances, puis placé face à la tribune il exécute un signe de tête respectueux pour salut à Minerve ainsi qu'aux personnes présentent, pour calmement venir en bout de Lice…

A nouveau la lance est dressé à la verticale, et Rotule bien établi sur ses étriers, la visière refermé, attend qu’une chose… rentrer puissamment dans cette nouvelle croisé sachant très bien que la Comtesse de Beaumont ne lui laisserais aucune opportunité de se rattraper ci il devait abaissé sa lance mollement et sans précision …

Enfin les drapeaux s’agitent pour donner le départ… Yakuza frappe le sable de la lice à toute volé laissant s’élever un nuage de poussière témoignant de la puissance libéré par sa course, alors que le Baccard mâchoire serré, vient sans retenu abaisser et briser sa lance contre l’écu de la chevalière lui faisant face, et alors que les éclats de bois volent, et que la lance de son adversaire vient ripper sur ca propre armure et qu’il en ressent le choc, le Dauphinois laisse son cri de guerre sortir de ses trippes libérant ainsi l’intensité de cette croisée heureux d’être toujours en selle…

Relevant la visière de son armet, il aperçoit Dame Karyaan le Verdier Lómàlas au sol, et c’est au trot qu’il s’empresse à ses coté s’enquérir de son état de santé…

Comtesse... comment allez vous ? Point de mal ?

Deedlitt a écrit:

Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin et Neyco Mariemont Casaviecchi, Baronne de Hautpoul.



Première lance...
Les jouteurs répondent présents, Minerve donne le départ. Ils prennent le départ avec force est vélocité, et c'est dans un choc fracassant que les deux adversaires brisent leurs lances et restent en selle.

Seconde lance...
Un demi tour en bout de lice et ils repartent, cette fois c'est la baronne seule, qui touche, brise sa lance et entraîne la chute du chevalier. Belle performance pour la baronne qui vient de sortir du tournoi un adversaire de choix.

Neyco Mariemont Casaviecchi est déclarée vainqueur.

La baronne de Hautpoul. Peste, il allait lui falloir porter les armes contre une de ses officiers. Il ne restait plus qu’à espérer qu’il ne la blesserait pas, ça risquait de faire sacrément désordre aux Chasses royales. Voila l’état d’esprit du chevalier avant d’entrer en lice. Non qu’il oublie qu’il puisse lui aussi être vaincu et blessé, mais bien plutôt qu’il essaye de ne pas garder cela à l’esprit. Songer à la défaite vous en rapproche toujours, avait-il coutume de penser.

L’âge se fait sentir, toutefois, ainsi que la blessure flamande qui n’a pas encore totalement disparue, tandis qu’il fait avancer son Frison sur le sable où il a déjà envoyé plusieurs adversaires. Saluant son adversaire d’un geste de la lance qu’un page lui a tendu, il porta son attention sur la rousse Minerve.

Répétant des gestes mille fois répétés, à blanc, à la joute, au pas d’armes ou à la guerre, il pique des deux pour lancer sa monture droit devant elle, oublie tout le reste, ne pense qu’à l’armure adverse, abaisse sa lance et porte tout son poids sur elle. Et brise. Et est touché. Le choc a été énorme, les deux cavaliers faisant preuve d’une vigueur remarquable.

Peste, il sera donc obligé de briser à nouveau, avant cette troisième lance qu’il redoute toujours, la fatigue ayant toujours la mauvaise idée de se présenter à ce moment précis. Saisissant une nouvelle lance, il la serre à s’en blanchir les jointures des doigts et charge à nouveau. À nouveau il ne pense qu’à briser. Mais fatigue, distraction, âge, blessure ou incapacité, que sais-je encore, il ne fauche que le vent. Pendant qu’il sent son plastron se faire enfoncer, son fondement vaciller entre les arçons, ses solerets de métal glisser de ses étriers et, enfin, le vol de mauvaise augure.

BARF !

Se relevant sans – trop – de difficultés, il salue du bras sa triomphatrice.

Souriant, mais son heaume étant toujours vissé à son armure, il était difficile de s’en apercevoir, le Flamand était de bonne humeur. Certes vider les étriers n’était pas l’activité la plus amusante qui soit, mais le faire lors d’une joute face à quelqu’un contre qui vous n’avez aucun grief personnel rendait les choses plus faciles, bien plus faciles. Et, surtout, c’était bien moins dramatique que le faire sur un champ de bataille. On était là pour s’amuser, que diable !

- Ne vous excusez pas, baronne. Je vous en aurais plutôt voulu si vous n’étiez point parvenue à me toucher.

Il inclina alors le buste afin de saluer celle qui avait triomphé de lui, avant de reprendre.

« Mais j’escompte bien que vous ne vous arrêtiez pas en si bon chemin. Sans cela, je serais effectivement vexé ».